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Ma...

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13 janvier 2009

L'ennui amène l'envie


Hey man !
Nice shoes
Nice car
Nice rock
You've got a nice girl too, and this one could be mine
I'm gonna take it from you
Hey gentlemen !
Nice suits
Nice desk
Nice situation
You've got a nice wife too, and this one could be mine
I'm gonna take it from you

Ghinzu

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4 janvier 2009

"la nuit dernière j'étais limite défoncé et j'ai failli t'envoyer un message bien pathétique sur l'amitié."

En passant devant le miroir, il voit  sur son visage les traces du temps qui passe et les marques des nombreuses soirées à boire, à fumer et à trop baiser les femmes ouvertes. Dans ses yeux il voit ce qu'il reste d'un homme après ce qu'il vient de faire.Il fait chaud et pourtant il tremble...
C'est vrai qu'elle a mal dormi après avoir dit ces mots.C'est vrai qu'elle n'a pas dormi, elle n'a pas cherché à fuir ce malaise.Elle l'a laissé vivre.Elle avait trop bu sans doute, elle s'était sentie désirée par les autres hommes, elle avait senti leur regard sur elle, elle sait qu'elle est désirable.Elle sait aussi que lui la désire.Elle sait qu'elle a encore envie de lui, elle se souvient de comment il posait ses yeux sur elle.Elle se rappele les mots d'une amie échangée comme un secret donnée du bout des lèvres " Ta poitrine gonfle rien que de le voir dans la même pièce que toi."Elle se dit qu'il est trop naif d'avoir cru qu'il ne la briserait pas, elle se dit qu'elle est trop naive de s'être attacher à une ombre.Parce qu'il n'est qu'une ombre, cherchant desesperement dans chaque corps féminin ce qu'il est.Elle voudrait juste rester la qu'on lui demande d'abandonner pour quelque heures.Puis elle s'est mise à pleurer, elle s'est trainer jusqu'a la douche, ses yeux picquaient et elles les frottait de manière violente tentant de s'arracher ses propres larmes.Elle aurait voulu baiser toutes les femmes qu'il avait baisé.Elle aurait voulu les posseder à son tour, les détruire à son tour pour comprendre le plaisir que cela procure.Elle aimerait inventer une autre histoire, plus heureuse ou du moins une histoire avec des certitures. Elle se souvient des phrases de Gainsbourg " Prendre les femmes pour ce qu'elles ne sont pas et les laisser pour ce qu'elle sont"

28 décembre 2008

Pour quelques mots dit lors d'une nuit sombre " tu es la meilleure"

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Nous ne vivons qu'une fois, c'est malheureux mais c'est un fait indélibile, inchangeable. Nous ne vivons qu'une fois et c'est ce qui nous tue, de voir les autres mourir et de savoir que notre tour viendra. Nous ne vivons qu'une fois alors on fait les erreurs que nous devons faire. Nous ne vivons qu'une fois et on s'entête à avoir des regrets, on s'entête à ne pas essayer de construire, on s'entête à faire l'amour sans lendemain.Nous ne vivons qu'une fois et pourtant on ne vit pas. On s'empêche, on s'enchaine et on ne vit pas tout ce qu'on pourrait vivre.Les soirs sans lendemain, les reveils sans suite, sans certitude. On ne vit qu'une fois alors on baise partout où on peut, on se vide partout où la vie s'est repandu, partout où les femmes veulent bien s'ouvrir. On ne vit qu'une fois et on prefère passer cette vie à rêver de peur que le reveil soit trop violent.On passe sa vie à rêver de l'homme ou de la femme parfait(e) et dans chaque corps qu'on épuise on tente de le ou la retrouver. On oublie que les corps qu'on laisse au matin sont animés, on oublie leurs ames, leurs idées, leur coeur, leurs douleurs.On les oublie parce qu'on a jamais su se débattre de nos propres peurs.On s'enfuit,on retourne dans nos rêves. A chaque fois que je me mets à rêver, je tente de ramener ça à la réalité.Parce que le rêve est cette ambiguité entre la douceur du désir et la violence de la douleur. Parce que le rêve ne fait parti que de nous et que la réalité se vit avec les autres. A vous de choisir, a toi de choisir : vivre avec les autres ou rêver seul? Personnelement je prèfere vivre les choses, et m'en prendre plein la gueule que de me mentir toute ma vie en construisant mon propre monde en dehors de celui des autres fait de désir toujours insatisfait en cherchant perpetuellement la perfection.La vie est mal faite et je pensais que j'aurais pu être quelques secondes cette image de la femme parfaite, que tu aurais pu croire assez en moi et non pas juste te vider comme un animal, j'aurais cru être autre chose qu'une femme, j'ai cru que tu etais là parce que c'était moi. Il parait qu'il faut passer son chemin, je me demande encore pourquoi je me suis arrêté à toi.

19 décembre 2008

Muse(iscien)...

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Il y'a des moments qui ne s'oublient pas. Quelques secondes, quelques minutes où les paupières se font lourdes et où notre corps se laisse aller.La musique nous transporte, je me revois tentant de m'endormir l'écoutant jouer du piano, tel une muse au pied de son musicien, comme une femme au pied de son amant : elle est nue, dans la nudité la plus totale.Elle ne peut plus cacher ce qu'elle ressent parce qu'à ses pieds elle est devenue trop fragile. Le musicien pourrait la detruire, l'arracher, la brûler à travers sa musique : elle sait trop bien que la musique ne lui appartiendra jamais. Il sait trop bien que sa muisque tente d'aller plus loin que la femme.Mais est-il capable de donner plus que la musique? Est-il prêt à offrir plus que de l'art ? L'art a t-il un sens si on oublie qu'il est fait par amour? Ou est ce l'amour qui se trompe en croyant que l'art est fait pour lui? Est-ce l'homme qui se trompe d'ambition? La vie peut-elle se résumer à la simple recherche de l'amour, ou l'amour doit il songer à faire l'amour à l'art pour avoir une véritable signification comme le simple fait que je ne puisse pas écrire sans écouter de la musique. C'est peut etre l'idée que l'amour est multiple qu'il est partout et nulle part comme si il n'y avait pas qu'un amour à vivre mais des milliers à découvrir. Peut-être l'art permet de prendre conscience de ce qu'est l'amour...

12 décembre 2008

Le temps passe

Photo_0010Quelque chose fait que parfois les gens sont plus heureux seuls, ils ont besoin de retrouver le plaisir de vivre uniquement pour soi, ces gens là ont souvent trop donné à certaines personnes qui ont marqué leur vie, sans prendre conscience qu'ils avaient besoin de s'aimer avant d'aimer les autres. Certaines de ses personnes même vont preférer vivre seul toute leur vie, parce que le temps leur a appris quelque chose que tout le monde n'apprend pas quelque chose que tout le monde n'a pas besoin d'apprendre, parfois la vie est plus belle faite de nos propres images. Certains d'entre nous pleurent trop le passé se rappelent les étreintes, chaque petits évenements que l'autre a deja oublié, tentant de retrouver le nombre de grains de beauté de l'autre, cherchant dans des vieilles photos le regard qu'il savait posé sur vous. Cette personne que vous avez aimer vous la retrouvez un peu partout, dans les gestes des autres, dans une odeur de clope qui traine dans l'air, dans la manière dont on vous regarde, cette impression dure malgré vous, vous cherchez ailleurs ds tous les regards des gens à oubliez son visage, vous faites l'amour des les bras des autres, vous vous impregnez de leur parfum, vous faites semblant de faire parti de leur histoire mais malgré vous les temps anciens vous rattrapent toujours et vous pensez à ce que vous viviez dans ses bras à lui.

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12 décembre 2008

Il y'a ces femmes que les garçons regardent, vous

Il y'a ces femmes que les garçons regardent, vous savez celles qui savent que les hommes les voient, celles qui font tout pour être vu qui jouent de leur beauté. Parfois les hommes regardent les femmes comme des bouts de viande, certains sont plus doués que d'autres en jouant à ce jeu, ils y prennent goût, ils prennent plaisir à blesser des innocentes, ils prennent plaisir à baiser sans rancoeur, sans aucun sentîment. Ces hommes là ont un jour oublié qu'il y avait des distinctions à faire entre les femmes ,entre celles qui jouent leur peau et celles qui jouent leur coeur, entre celles qui jouent leur corps et celles qui jouent leur vie. Certaines ne jouent pas seulement pour jouer, elles jouent simplement parce que vous l'avez décider, juste parce que vous avez accepter de la regarder, alors elles se mettent à jouer parce qu'elles savent que c'est le seul moyen qu'elles ont trouvé pour qu'un jour vous la regardiez.Le seul jeu que vous avez trouver c'est celui de blesser les filles, c'est le seul truc grisant, excitant qui vous fais vous levez le matin et bizzarement plus vous aimez ça plus les filles vous aiment. Le problème c'est qu' une des jeunes filles se retrouve un matin les yeux en larmes, pleines d'une peur inconnu qui n'a rien à voir avec vous, qui n'a rien à voir avec l'amour qu'elle vous porte, elle pleure pour un autre , elle pleure parce qu'elle a peur de ne pas en survivre. Et vous parce que vous n'êtes qu'un homme et que votre seul rôle a été celui de passer une nuit sur elle, vous devenez plus lache que n'importe qui, vous passez à côté sans vous arrêter, vous sentez son regard sur vous, vous n'êtes pas capable de la serrer dans vos bras. L'homme est un autre morceau de viande que la femme, la seule différence c'est qu'il ne l'a pas encore compris.

15 octobre 2008

Sans y penser, sans vouloir le dire : sans penser à quelqu'un. You're my sweet love.

You're my sweet love
And everytime I fall into the beauty of, the endless of, the grey blue of your eyes, I die
You're my sweet love
And everytime I kiss the velvet of, electric of, cinnamon of your lips
You're my sweet love
And everytime it's you, the way you move, the way you breathe,
The way you look at me, when I get lost in you
And darling when you come, hanging on a silence thread, Whispering your grace, whispering your love
And darling then you smile, closing slowly now your eyes

14 octobre 2008

Shut up and open your eyes

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Il y a ces mots qui passent et qui perdent de leur sens quand on les dit. Il y a ces interdits qu'on franchit et qu'on oublie de comprendre. Il y a cette attente d'entendre tes mots, de sentir tes caresses. Il y a cette envie de sentir ta chaleur et de voir tes paroles s'ouvrir. Il y' a cette envie d'être libre mais de ne pas être seule. Il y a l'oubli , il y a les regards. Je me souviens l'intensité de ce toi en moi, de cette chaleur dans mon corps qui brûlait mes entrailles, mes seins et mes paupières. De tes mains qui n'osaient ou ne voulaient se poser comme un pantin désarticulé laissant ses bras pendre. Je me souviens de ton visage tiré, tes dents serrés, ta retenue alors que brûlait au fond de toi un cri insoutenable, comme si le cri silencieux annonçait plus que la fin d'une simple jouissance, d'un simple orgasme.Il y' a ce temps qui passe, qui fuit nos histoires, qui décide ce qu'il veut et qui nous fait tourner jusqu'à ne plus savoir où on est.
La dernière fois je tourne, tourne...mon corps s'envole, ma tête s'étire, mes pieds brûlent: je tourne sur une musique qui s'entête, qui s'aventure dans les méandres de nos histoires, une musique qui s'insinue dans nos mémoires comme des odeurs certains soirs ou certains dimanche après midi: c'est un imaginaire qui se refonde et se reforme. Et tes yeux parfois se posent sur mon corps, sur ma poitrine, sur mes mains trop courtes ou trop grandes. Et parfois tu me regardes danser comme ce soir là, tu laisses ton regard divaguer sur mon corps tremblant, puissant d'écouter et de participer à la musique. Parfois aussi tu ne sais plus me regarder ou tu ne sais plus me parler. Tu joues, tu chantes, tu oublies peut-être ma présence : tu retournes dans ce monde qui n'appartient qu'à toi , comme l'écriture n'appartient qu'à moi. Tu poses tes doigts sur les cordes et tu oublies que je suis là.Je fuis tes yeux qui ne savent rien dire, je fuis tes yeux qui ne savent pas me dire ce qu'ils pensent en me laissant dans cette incertitude. Je chercher ailleurs que dans ton regard caché par ton immense distance ce que j'ai toujours cherché: un peu d'amour. Ton corps est là et toi, juste toi : où es tu ?

7 octobre 2008

Parce que ce fut une belle histoire.

DSC00392Je passe devant cette école, quelques secondes avant je glisse sur une feuille (le ridicule ne tue pas) et je pense à cette enfance que tu as pu vivre, toi qui racontes si souvent ces histoires d'avant...d'un passé révolu mais encore aimé. Cela me rappelles que j'aime les grands enfants, que j'aime cette maturité qui émane de toi tout en gardant la pureté, l'infantilité de jeux réinventer à deux, pour le plaisir de repasser dans un monde trop souvent oublié, trop souvent critiqué... J'aime ces jeux de main qui oublient quelques secondes un monde trop peu vilain... J'aime ces regards qui disent tout sans jamais rien dire, qui me laisse entrevoir sans donner... J'aime ton monde et le mien, mélange de deux corps de continents différents... J'aime nos quelques heures, nos quelques jours, qui n'appartiennent qu'à nous et qui détruisent un instant le poids trop lourd d'un monde assourdissant...d'un monde de travail acharné qui fatigue mes paupières froides...J'aime ton corps qui sent la chaleur d'une douche à peine terminé... J'aime la douceur de lèvres, mangé puis remangé sans jamais s'en défaire, sans jamais en être rassasié...J'aime le monde comme tu le vois, comme je le vois, comme nous le construisons seconde par seconde... J'aime peut-être un peu trop mais je ne dis pas le mot...

7 octobre 2008

Remind me

116_1446Tu me rappelles ces gens avec qui je ne veux plus parler; quelques gestes polis et retenus,regards qui trahissent l'envie de retrouver un moyen de pouvoir parler, un moyen d'être avec l'autre sans le détester sans non plus y être indifférent: dans ce juste milieu que personne ne connaît. Tu me rappelles ces gens avec qui je ne pense plus, où un jour le regard à arrêter de croiser les yeux de l'autre, où les joues ne se tapent plus, où les lèvres ne se posent plus.Tu me rappelles ces gens avec qui je n'ose plus, parce que je me suis fait mal à coté d'eux.Je me souviens de quelques uns de tes mots, nous nous connaissions mal; nous ne nous connaissons plus. Tu me rappelles encore tout a l'heure le froid de l'hiver, les entrailles humides; les entrailles froissées, tu me rappelles l'amour dans toute son ignorance et sa naïveté. Tu me rappelles l'indifférence quand tes cheveux se mêlent et que ton regard se perd au hasard du vent qui souffle.Tu me rappelles mon absence, mes affreux oublis. Tu me rappelles que je ne suis qu'une femme parmi d'autres et que cette femme là tu ne lui offrira pas ton amour, que la vie n'est pas tendre et que toi non plus. Tu me rappelles l'indifférence quand tes doigts tapent sur tes jambes, que tu bats le rythme, que tu oublies de sourire que tu ne parles plus. Tu me rappelles mon père l'absence de ses mots, l'absence de ces caresses. Tu me ramènes à moi et à mon inquiétante indiscrétion, à mes mots et à mes histoires qui n'en finissent jamais de recommencer pour se terminer.

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